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Le voyage de Quichué

Le voyage de Quichué

conte de la balançoire

Le voyage de Quichué

Près du lac Attilan vivait un enfant du nom de Quichué, il était âgé de sept ans.

Une nuit alors qu’il regardait les astres comme le faisaient ses ancêtres, il se produisit un phénomène étrange : une pluie de minuscules étoiles tomba sur la plage.

L’enfant se leva et regarda le sable avec surprise ; la lune Chém et Yax ( Vénus ) brillaient plus qu’à l’ordinaire. Quichué était émerveillé. Etait-ce un message du ciel ?

Quichué déchiffra ainsi les paroles divines écrites avec des morceaux d’étoiles :

- Va de par le monde, Quichué, retrouve les quatre autres enfants qui forment avec toi le « quintuple « sacré et revenez ici, avant trois mois, pour reformer ensemble le puzzle de verre magique qui représente la terre. Votre œuvre accomplie, vous pourrez alors revoir « ESPERANZA « la grande cité de la civilisation disparue Quichué parla à haute voix :

- Mais où puis-je trouver les autres enfants ? Pourquoi ai-je été choisi pour accomplir cette tâche

Un souffle léger brouilla à nouveau les morceaux d’étoiles et les disposa pour un second message :

- Les autres enfants se trouvent en Europe, dans les Pyrénées, au Nord de l’Espagne, en Afrique au Sénégal, en Asie à Lhassa au Tibet, et en Océanie à Suva dans les Iles Fidji. Ils auront, ainsi que toi, un morceau de puzzle de verre de la planète terre. Le tien se trouve en haut de la plage.

- Mais je ne saurais pas...je ne suis pas capable de réaliser cela, gémit le petit garçon.
Mais il ne vit plus rien : d’un seul coup, les morceaux d’étoiles s’envolèrent et disparurent dans la nuit. Il resta là...il lui semblait

avoir rêvé. Aussi décida-t-il de rejoindre sa maison et d’oublier ce qu’il venait de voir. Il remonta la plage et là il s’arrêta, pétrifié. Sur le sable gisait un étrange objet insolite, brillant, limpide, bleu et transparent.

Quichué s’en saisit : le verre s’illumina et dessina son continent, son pays. Il se voyait dedans, lui et les siens, près du lac Attilan, entouré des trois volcans, ce plus beau lac du Guatemala. Il voyait la misère de son pays, la souffrance de sa famille, la détresse de ses amis. Puis il vit d’autres choses étranges, surprenantes. Une magnifique cité avec des gens heureux, aisés, qui fêtaient le soleil. Il vit aussi des machines voler dans le ciel et atterrir. Il découvrit toute une civilisation extraordinairement avancée,, radieuse, à l’endroit même où aujourd’hui il n’y avait que désert, solitude et misère.

Quichué resta là. Bientôt le soleil se leva. L’enfant tremblait. Il venait de prendre une décision très importante. 

 Il partit sans rien dire à sa famille et rejoignit le port le plus proche : Vera Cruz.

Il s’embarqua clandestinement pour l’Europe, Bilbao plus précisément, au Nord de l’Espagne. Dans sa tête, il avait élaboré un plan pour ses recherches. Le voyage dura plus de dix jours, mais l’enfant s’était caché près des provisions et de l’eau et ainsi il ne souffrit ni de faim ni de soif. 

Le voyage de Quichué

Le voyage de Quichué

Arrivé à Bilbao, il attendit la nuit et débarqua. Il connaissait le nom de l’enfant qui vivait en Espagne. Elle s’appelait Esperanza et vivait à Hécho, dans un village aragonais au pied des Pyrénées.

Un camionneur le véhicula jusqu’à Huesca ( ville du nord de l’Aragon ), là il trouva une voiture pour sa destination finale.

Arrivé à Puente la Rena, l’enfant descendit de la voiture,

remercia le chauffeur et finit la route à pied jusqu’à Hecho. C’était le printemps, tout était si beau. Il avait voyagé de nuit et à présent c’était l’aurore. Les torrents dévalaient joyeusement les pentes dans une symphonie de couleurs et de sons...

Il arriva au village. Là, sur la place tout endormie, se trouvait une petite fille qui avait l’air de l’attendre.

-Es-tu Esperanza ?

-Oui je suis Esperanza, et toi, tu es Quichué ?

Oui ! As-tu le verre magique ?

- Le voilà, dit la fillette, et toi, montre-moi le tien !

-Quitchué sortit alors d’un sac le premier morceau du puzzle. Les deux enfants les mirent bout à bout :

-Il en manque encore trois autres, dit Quitché. Il n’y a pas de temps à perdre.

-je le sais, répondit la fillette, nous sommes ensemble pour les retrouver.

-Allez, coupa le jeune indien, il n’y a pas de temps à perdre ! partons avant que les gens ne se réveillent.

-Attends, dit Esperanza, je vais prévenir mes parents.

-Il n’en est pas question. Si tu le fais, ils ne nous laisseront pas partir.

-Je ne veux pas les quitter sans rien leur dire, insista la petite fille.

-Il le faut, Esperanza !

-Mais ils seront très malheureux et très inquiets...

- Si nous ne partons pas immédiatement, c’est l’humanité qui sera malheureuse. Es-tu si égoïste, pour ne penser qu’à toi ?

Esperanza pleurait à présent.
-Je vais leur laisser un mot, sanglota-t-elle

-Non, trancha autoritairement Quichué. Tu viens avec moi, c’est tout !

-Je vais écrire un message. J’ai été, comme toi, choisie pour accomplir cette mission, mais en aucun cas, je ne serai à tes ordres et j’obéirai toujours à ma conscience, que cela te plaise ou non ! après tout, je peux bien, moi aussi, retrouver les autres de mon côté, sans pour autant rendre malades d’inquiétude tous ceux qui m’aiment ! répliqua Esperanza.

Quichué comprit qu’il n’y avait rien à faire : la fillette ferait comme elle l’entendait. Il se tut. Après avoir écrit quelques lignes, Esperanza rejoignit le jeune indien et les deux enfants partirent ensemble sur la route, en direction de l’est. Quelques jours plus tard, ils arrivèrent dans un grand port : Barcelone. Ils repérèrent un navire en partance pour l’Afrique, le Sénégal, plus précisément. Ils s’y introduisirent et commencèrent leur périple en haute mer. 

Au bout de quelques jours, Esperanza eut la fièvre. Quichué attendit, espérant qu’elle irait mieux, mais l‘enfant allait de mal en pis. Elle risquait la mort, alors le garçonnet se résolut à signaler leur présence au capitaine du navire afin de la sauver.

Le médecin soigna la fillette, mais la police fut avertie de la présence à bord de deux enfants clandestins. Arrivés à Dakar, Esperanza fut conduite à l’hôpital et Quichué retenu par les autorités.

Informés, les parents de la petite fille prirent le premier avion pour récupérer leur enfant.

-Je ne veux pas partir, leur dit la petite, je dois retrouver trois autres enfants afin de reformer le « Quintuple sacré «.

-Elle délire, pleura la maman, c’est la fièvre ! 

Esperanza est malade

Esperanza est malade

Ne vous inquiétez pas, madame, lui dit gentiment l’infirmière. Mon fils a eu lui aussi la même maladie que votre fille. Il délirait et disait les mêmes choses incompréhensibles. Il parlait de trois enfants à retrouver et de « quintuple sacré «. Maintenant il va très bien, il est en parfaite santé. D’ailleurs il viendra m’attendre, avec mon mari, après mon service.

Esperanza avait suivi la conversation. A présent elle savait qui était le troisième enfant : le fils de l’infirmière. Bientôt il serait là, plus que quelques heures avant de le rencontrer. Pendant ce temps, Quichué était toujours sous la surveillance des policiers. Ses parents trop pauvres, ne pouvaient lui payer le billet de retour vers le Guatemala. A l’hôpital, Esperanza prit une décision importante : parler à ses parents, en qui elle avait une entière confiance.

-Papa, maman, voilà pourquoi je suis partie.

..Elle raconta le secret du quintuple sacré et sa rencontre avec le jeune Quichué.

-Papa maman, il faut que vous m’aidiez, allez délivrez Quichué et ramenez- le ici.

-mais c’est lui qui t’as entraînée ici, lui répondit sévèrement sa maman.

-Pas du tout, d’ailleurs c’est lui qui m’a sauvé la vie !

-Soit, dit le père, je vais aller chercher Quichué ! mais après ?

- eh bien, je crois connaître le nom du troisième enfant : c’est le fils de l’infirmière, celui qui disait les mêmes choses que moi pendant sa fièvre, tu sais...

-mais c’est un véritable conte de fée, coupa Marina, sa mère, ma parole, Pablo, ne va pas écouter ces enfants ?

-Assez, Marina, j’ai entendu dire des choses étranges dans mon enfance de la part des habitants des Pyrénées...mes aïeuls parlaient de la cité disparue qui se dressait au-delà des colonnes d’Hercule. Nos ancêtres auraient été parmi les quelques rares privilégiés à avoir échappé au grand cataclysme qui avait fait disparaître tant de grandes îles il y a dix mille ans.

 Marina finit par se résoudre et attendit avec Esperanza que son mari revienne de la gendarmerie avec Quichué.

Pablo, à force de parlementer, avait réussi à convaincre les autorités de lui confier le jeune enfant en fuite. Il venait d’obtenir l’autorisation de ses parents de s’en occuper suite à une brève conversation téléphonique avec le Guatemala. C’est donc ensemble qu’ils revinrent à l’hopital....

Le soir tombait, l’infirmière avait fini son service, Pablo la guettait. Elle se dirigea vers un grand homme qui l’enlaça tendrement. Un petit garçon se tenait derrière lui. Pablo se dirigea vers le petit groupe :

-Excusez-moi de vous déranger, monsieur, madame, mais pourrais- je parler à votre enfant ?

-Certainement, dit aimablement l’infirmière.

-Voilà, je m’appelle Pablo, je suis le père d’Esperanza et l’ami de Quichué. Ces noms te sont-ils familiers, petit ?

-Comment, s’exclama l’enfant, ils sont là, c’est formidable, moi qui les attends depuis des jours et des jours. Je m’appelle Yahvé !

-Qui signifie « celui qui est « répondit Pablo. Madame, monsieur, enchaîna-t-il, je sais que ma demande va vous paraître surprenante, mais par Dieu, écoutez-moi !

Et il conta l’histoire du « quintuple sacré « aux parents de Yahvé.

-Confiez-moi votre fils, je vais les aider dans leur quête, je serai auprès d’eux pour tout.

Les parents hésitèrent mais finirent par accepter devant l’obstination de leur enfant. Yahvé fut conduit au chevet d’Esperanza. Quichué était là, lui aussi.

-Bonjour, Esperanza, Quichué ! salua-t-il gaiement, enfin vous voilà !

-As-tu le morceau de verre ? questionnèrent les enfants.

-Sûr que oui ! il ne me quitte pas depuis que je l’ai trouvé. Et il sortit de son cartable un magnifique morceau de cristal qu’il joignit aux deux autres.

-Plus que deux, et nous réaliserons le « quintuple sacré « s’exclama joyeusement Quichué.

-Quelle est la prochaine destination ? demanda Pablo aux enfants.

-Le Tibet, répondit Quichué.

-Oui, c’est cela, le Tibet s’écrièrent les deux autres enfants. Pablo proposa à Marina de rentrer à la maison car il y avait là- bas leur bébé en nourrice. Quant à lui, il comptait se faire accompagner par son frère Carlos, un astrophysicien qui connaissait parfaitement les étoiles. Carlos, très aventureux de nature, se joindrait sans problème à la petite troupe, Pablo en était convaincu.  

Lhassa au Tibet

Lhassa au Tibet

 

La cité de Lhassa était éclairée par les lueurs dorées des lampes à beurre. Le petit groupe arriva au Potala. Une trompette sonna et l’écho se répercuta sur les surfaces rocheuses de la vallée. Le Potala, ce palais du dalaï-lama, scintillait de centaines de fenêtres illuminées derrière lesquelles les moines vaquaient à leurs occupations. Un météore traça dans le ciel une parabole lumineuse.

-Quelle belle nuit n’est-ce pas ? dit un enfant moine. Je suis celui que vous cherchez, continua-t-il, suivez-moi.

Sans mot dire, ils suivirent cet étrange personnage drapé d’une tunique couleur de soufre. Il les conduisit dans une grande demeure où brûlaient de l’encens et des cierges blancs.

-Installez-vous ici et reposez-vous ! dit le petit moine. Je vous apporte de quoi vous restaurer.

Et il revint avec de la Tsampa, une bouillie faite d’orge, mélangée au thé beurré. Il leur offrit aussi des poissons séchés et des fruits. Nos cinq amis dévorèrent ce succulent repas et s’effondrèrent, ivres de fatigue, sur les couchettes

préparées pour eux. Le lendemain, l’enfant moine, leur expliqua qu’ils se trouvaient dans une lamaserie et que lui aussi, plus tard, serait Lama ( prêtre ). Puis il y eut les présentations : 

 Dunlop au Tibet

Dunlop au Tibet

-Moi, je m’appelle Dundup, dit le petit tibétain, j’ai sept ans, comme vous, sept, le chiffre sacré !

Mais Dundup était très différent des autres enfants, il possédait des facultés extra-sensorielles très développées et un don pour lire dans le cœur des gens comme dans un livre. Il les conduisit, après le repas, à la Caverne des Anciens. Il s’agissait d’une grotte de l’Himalaya, là où les hommes de l’antique civilisation d’Esperanza avaient enfermé l’essentiel de leur science à l’attention de l’humanité à venir. Là, ils virent dans un globe sacré des images étranges : des cités extraordinaires, des sciences avancées, et des choses encore inconnues, techniquement incompréhensibles. Puis tout à coup, ils virent de grandes cités flottantes allant de pays en pays. Et, soudain, l’éclair qui zébre le ciel, les ruines, le nuage rouge en forme de champignon.

-Voilà, leur dit Dundup, le monde avant le monde !

Et il sortit d’une cachette, le quatrième morceau de verre qu’il joignit aux autres.

-Il faut partir pour retrouver Aura, dit Dundup à Quichué. -Je sais où elle vit dans les Iles Fidji, répondit le jeune Inca

-Allons-y à présent ! ordonna le jeune Tibétain. 

 

Le jeune Tibétain invita la petite troupe à s’installer dans un engin spatial inconnu. En quelques secondes il couvrit des milliers de kilomètres pour atterrir sur une belle plage d’Océanie à Suva dans les Iles Fidji. Un petit groupe d’enfants se précipita vers eux. Parmi eux se tenait une petite fille très brune qui tenait dans ses mains le dernier morceau de cristal sacré. Elle s’adressa à Quichué :

 

Lhassa au Tibet

Lhassa au Tibet

 Fidji avec Aura

Fidji avec Aura

 

-Tu es Quichué, n’est-ce pas ? Voilà, je te remets le dernier morceau du puzzle.

Pablo, Carlos et les enfants étaient à présents très excités : les morceaux à présent réunis formaient une extraordinaire boule de verre lumineuse !

-Nous avons respecté le délai, dit Quichué. Il nous reste un mois, nous pourrions le passer ici sur cette île, qu’en pensez-vous ?

-Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, rétorqua Dundop. D’ailleurs regardez ! on vient déjà vers nous. Comment expliquer notre présence insolite ? Partons tout de suite ! allez, grimpez, toi aussi Aura, dit-il en adressant à la jeune Fidjienne, tu reviendras bientôt chez toi !Et Dundup actionna la machine volante qui décolla dans un ouragan de poussière...en quelques minutes elle les transporta en Amérique, près du Mexique, au Guatemala, devant le lac d’Attilan.

Ils attendirent la nuit, et, agenouillés, déposèrent sur le sable le puzzle terre. Ils restèrent là.

silencieux, Pablo et Carlos s’étaient éloignés, car ils ne devaient pas assister à la cérémonie sacrée. Quichué s’impatientait :

-Pourquoi ne se passe-t-il rien ? 

Silencieux, Pablo et Carlos s’étaient éloignés, car ils ne devaient pas assister à la cérémonie sacrée. Quichué s’impatientait : -Pourquoi ne se passe-t-il rien ?

-Nous avons fait quelque chose qu’il ne fallait pas ! s’écria Yahvé. -Non ! c’est peut-être un peu tôt, dit Dundop.

-Un peu tôt ? questionna Esperanza, mais tu disais le contraire tout à l’heure !

-Je voulais dire un peu tôt pour Esperanza !

Puis tout à coup le ciel se vida de ses étoiles. Des éclairs énormes et terrifiants s’emparèrent de la voûte céleste. La terre trembla. Une immense vague déferla sur la côte et emporta les cinq enfants au large sous les yeux horrifiés de Pablo et Carlos qui ne purent rien faire. Cette même vague, soudain, les hissa très haut et une île apparut, habitée, peuplée...et les enfants se trouvèrent projetés sur la place devant le temple « ESPERANZA «. Un vieillard marcha vers eux :

-Bienvenue, future humanité : avez-vous le globe sacré ?

-Oui, répondit Aura en sortant le globe de son sac.

-« Quintuple sacré, vous avez réussi votre mission ! celle de redonner espoir à la vie, espérance à l’homme. Les enfants de cette terre sont prêts pour redécouvrir les secrets cachés mais pas leurs parents ! Avez-vous vu les guerres et les misères, comme elles sont nombreuses ? et les famines et la violence ? qui est responsable de tout cela sinon le monde des adultes et leur extraordinaire besoin de détruire CE QUI EST BEAU ET JUSTE ! il faudra donc attendre, mais c’est à vous, la future génération que reviendront tous les secrets cachés et la grande science. Vous en ferez bon usage, j’en suis sûr ! allez, maintenant, retournez en vos cinq continents, retrouvez vos parents et amis ! Parlez-leur de la « Grande Espérance « d'un monde meilleur, lorsque tous les individus de cette planète auront cessé de se jalouser, de s’entretuer et de détruire par leurs excès notre belle Terre Bleue. Œuvrez ensemble pour la paix, la justice, le respect de l’autre, de la nature, des espèces vivantes animales et végétales. Parlez-leur de la solidarité des peuples, des vraies valeurs de la tolérance, de la famille, de la beauté, de la liberté et de la vérité et enfin du BONHEUR 

ENSEMBLE OEUVREZ ET RECONSTRUISEZ LA GRANDE CITE PERDUE.

ESPERANZA 

La globe sacré est reconstitué la cité Esperanza aussi _

La globe sacré est reconstitué la cité Esperanza aussi _

Questionnaire

Où débute ce conte ? Dans quel pays ? Dans quel endroit ?

................................

Que doit rechercher  Quichué ? ...............................

Où doit- il d'abord aller ? dans quel pays , retrouver qui .......................

Pourquoi Quichué a t- il pris un bateau ? ..............

Que se passa t -il sur le bateau ? .........................

.................................

Qui retrouva t il en Afrique ? ..................

Quelle était après l'Afrique la destination de Quichué ? 

........................................................

Qu'elle fut sa dernière destination ? ...............

Combien d'enfants rejoignirent -ils Quichué ?.......Donne leur prénom .....................;.

Que se passa t -il  une fois tous réunis ?...........

Quelle est leur mission ? .....................................

Que penses -tu de la mission de ces enfants ? ............

 

 

 

Tag(s) : #conte de la balançoire : le voyage de quichué, #Conte
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