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La Loire terre de chocolats nationale et internationale  ! 

Le chocolat, l’autre or noir du bassin stéphanois

Aucun des grands noms de l’histoire industrielle du chocolat n’est aujourd’hui associé à la cité ligérienne, mais Nantes n’est pas sans lien avec la saga de cet aliment sucré produit à partir de la fève du cacao

Et pourtant Saint- Etienne  aujourd'hui avec  ses villes voisines est la capitale du Chocolat de France de Navarre, voire d'Europe ! Qu'on se le dise !

Histoire et origines

Une boisson chaude et amère venue d'Amérique du Sud

Le cacao n’est pas connu en Europe avant le 16e siècle car c’est la découverte des Amériques qui offre aux premiers voyageurs l’opportunité de rapporter ce breuvage, d’abord à la cour d’Espagne. Si le chocolat se diffuse progressivement dans toute l’Europe, il reste, en raison de sa cherté, essentiellement en vogue parmi les cours aristocratiques. On le consomme principalement sous la forme d’une boisson chaude où l’on ajoute du lait ou du sucre pour briser l’amertume.

C’est au 17e siècle, en France, que se répand la mode de cette boisson aux vertus stimulantes, en concurrence avec celles du café, puis du thé.

C’est aux épiciers droguistes que revient le droit de fabriquer en ville le chocolat. Forts de leurs droits à commercialiser les épices, le café en fèves et le thé en feuilles, ils reçoivent en 1731 l’autorisation de débiter le chocolat, à l’exception de la vente en boisson. Le chocolat sert également à la confection des pralines, dragées et autres confiseries comme les pistaches au chocolat vendues par le marchand confiseur François Tiby, installé à la Fosse durant le dernier quart du 18e siècle

En 1770, quelques années avant la Révolution française, les premiers effluves d’un produit exotique se diffusent dans l’air.

 

Saint Etienne devient capitale du chocolat

des conditions très favorables

 

1) Saint-Etienne est sur la route du cacao : de Nantes par voie fluviale, et de Marseille par voie ferroviaire, il n'y fait ni trop humide, ni trop chaud, pour la conservation des fèves. La 1ère ligne de chemin de fer a vu le jour à Saint-Etienne en 1827, elle relie Saint-Etienne à Andrézieux, puis a Lyon. Cela a permis de faciliter l'acheminement des fèves de cacao et l'expédition des commandes.

L'entrepôt des douanes en 1899 va servir à stocker les fèves de cacao et à avoir des relations discrètes avec les pays producteurs et de réduire les frais de douane. L'entrepôt des douanes était, à la base, destiné à stocker la soie pour les tisserands, il est ensuite utilisé pour le cacao. Son avantage est surtout économique : il permet de différer le paiement des taxes, et de stocker le cacao.

2) Une situation géographique et économique idéale par la présence de rivières nombreuses,désenclavée grâce au chemin de fer

3) Une main d'oeuvre très abondante  (beaucoup de femmes de mineurs ) travailleuse et spécialisée

4) des matières premières à disposition - le charbon qui va procurer l’énergie pour faire tourner les usines 

5 )Une image dynamique :des industries lourdes de base, qui ont fait sa renommée. La ville est un terrain économique fertile, propice à de nouvelles implantations. 

6)  Les industriels, motivés notamment les rubaniers, aiment envoyer des cadeaux à leurs principaux clients pour les fêtes de fin d’année. Rapidement, ils prennent l’habitude d’envoyer une boite de chocolats Weiss orné de leur plus beau ruban.

7 )Une diversité de consommateurs locaux : dans les villes minières, on consomme plus de chocolat noir en tablette. Peu cher, énergétique, bon pour le moral, il améliore le quotidien de l’ouvrier. Saint-Etienne est le 2ème bassin de consommation national.

Les premières chocolateries stéphanoises

A la Fouillouse, la première chocolaterie : Escoffier. Voit le jour . Elle tirait son énergie d’une roue hydraulique placée sur un bief du Furan. À la même période, la compagnie française des thés et chocolats Pelletier voit le jour à Paris. Une dizaine de petites chocolateries s’y adjoignent rapidement. La fabrication est artisanale et suffit à la consommation locale.

La première chocolaterie y fut créée en 1770 : c’était la maison Escoffier.

En 1820, les maisons Coulois Pupier en 1860, et Weiss en 1882, devinrent de grands chocolatiers du département.

La région stéphanoise était alors approvisionnée en cacao par voie fluviale depuis le port de Nantes. Au XIXe, c'est Marseille qui importe le cacao d'Afrique. 

 

La maison Escoffier

Située sur un bief du Furan, aux abords du moulin Saint-Paul, la fabrique de Jean-Baptiste Escoffier a d'abord tiré son énergie d'une roue hydraulique.  Les produits fabriqués sont vendus dans un magasin situé à  l'angle de la rue Froide et de la place du Peuple. Jean-Baptise Escoffier eut dix-huit enfants dont Auguste qui prend la succession et utilise la première machine à  vapeur à  partir de 1819. En 1870, c'est Denis Escoffier qui prend la direction de la chocolaterie, jusqu'en 1890. Un an plus tard, la Maison Escoffier reçoit le Grand prix lors de l'Exposition de Saint-Etienne.

La maison Pupier

Entre-temps, en 1860, un concurrent, Jean-Louis Pupier, installe rue du Bas-Vernay la première chocolaterie entièrement à  vapeur et qui porte le nom de Chocolaterie spéciale du Commerce. Perfectionnant sans cesse ses installations (moulins à  cacao, broyeuses de fèves automatiques...) Jean-Louis Pupier fait prendre un nouvel essor au chocolat stéphanois et inaugure dans ce secteur la production industrielle. Il construit une nouvelle usine rue Désiré Claude et ouvre une boutique  Place du Peuple. En 1882, l'année où un certain Eugène Weiss prend ses quartiers à  Saint-Etienne, il invente le "malakoff", ainsi nommé en hommage aux vainqueurs de la guerre de Crimée. "Jamais victoire ne serait si longtemps dégustée" a écrit notre ami Serge Granjon dans Saint-Etienne sous la IIIe République. Dans la vitrine du magasin de la place du Peuple, trônait d'ailleurs une immense tour confectionnée avec des malakoffs.

Chez Pupier, c'est Joseph qui succède à  son père Jean-Louis. S'inspirant des fabricants suisses, il intensifie la production et à  partir de 1895 élargit la distribution de chocolats à  l'ensemble du territoire français. Au début des années 1910, Joseph Pupier entreprend la construction d'une usine située rue des Passementiers, achevée en 1914. Durant la guerre, il propose à  la Croix Rouge de la mettre à  son service. 3000 blessés y  sont soignés tandis que la production de chocolat  continue dans l'ancienne usine. Un geste qui lui valut la reconnaissance de la Municipalité (le superbe tombeau Pupier, au cimetière de Valbenoîte, porte d'ailleurs l'inscription "bienfaiteur de la ville"), au même titre que Denis Escoffier, également  "bienfaiteur de la ville" et dont l'ancienne rue Froide porte désormais le  nom. En 1899, il avait légué par testament 200 000 F pour subvenir aux besoins des ouvriers sans travail. Joseph Pupier a aussi une rue à  son nom, l'ancienne rue de La Corre. 

Chocolateries Barbier- Pelletier- Casino-Granetias

En 1887 est créée la chocolaterie Barbier, rachetée en 1926 par Emile Pelletier.

En 1905, Casino fonde sa propre fabrique de chocolat et confiseries. En 1905 toujours, Emile Berthéas, l'époux d'une des nièces Escoffier, prend la tête de la fabrique de La Fouillouse. Puis ce sera la famille Coquard. Dans les années 1920 Louis Granetias ajoute son nom à  l'entreprise Escoffier. Le magasin principal "Granetias et Cie" se trouve alors au 19, rue de Lyon, à  l'emplacement de la librairie "Lune et l'autre". Un autre se trouve au 29 de la place du Peuple. On y achète des chocolats extra fins, du cacao en poudre, des bonbons à  la crème et pralinés et du Racahout des arabes, une poudre composée de diverses farines et fécules, de cacao et de sucre. 

Maison Weiss

Eugène Fondée en 1882 par Eugène Weiss,s

, Eugène Weisss c fils de vigneron. Il s’inspire de l’univers du vin pour créer l’Art de l’assemblage du chocolat.

Il associe des cacaos de plusieurs origines, équilibre le dosage et développe les recettes, comme le font les maîtres de chais avec le raisin ou les nez dans le parfum. L’art de l’assemblage, c’est obtenir le bouquet désiré, ce goût unique, ce « goût Weiss ». C’est tout le secret des recettes !

Eugène Weiss, jeune confiseur alsacien, ouvre sa boutique à Saint-Etienne, terre de chocolat.

Il y développe un savoir-faire artisanal d’excellence. Son atelier devenu trop exigu il aménage sa chocolaterie en 1907 et se place sur un créneau alors inexploité à Saint-Etienne : le chocolat haut de gamme et la vente aux professionnels des métiers de bouche. Pionnier du Haut Chocolat® il fait preuve d’une grande créativité.

 

 

Saint Etienne la capitale du chocolat

Si Lyon est une ville symbole de l'excellence culinaire, depuis 250 ans on retrouve à  Saint-Etienne cette même exigence grâce notamment aux artisans chocolatiers. Pourtant fort loin des cacaoyers, notre ville fut et reste, selon Paul Ducasse, Directeur général de la Maison Weiss, la capitale française du chocolat. Et si la capitale des Gaules est celle de la Gastronomie, c'est aussi parce qu'elle reçoit de ses voisines des produits bruts, dont le chocolat stéphanois haut de gamme.

Et si les murs sont si noirs c'est qu'ils sont en chocolat...

chantaient les Raoul Volfoni. 
Depuis "Saint-Etienne" (1999), le groupe de Bartone a fondu et le beurre de cacao est un peu remonté à  la surface des murs, enrobant le centre-ville d'un meilleur contraste de couleurs.

A Saint-Etienne, ville grise, disait la chanson
Armes, rubans et friandises vous trouvez,
Quelle étrangeté qu'une semblable variété...
... Et je sais chose très secrète qu'en tous temps, Vénus la coquette, 
Avec Mars, le terrible dieu, s'en vinrent chercher tous les deux
Armes, rubans et friandises,
A Saint-Etienne, ville grise.
" (P.C.)


"Saint-Etienne ressemble à  une tablette de chocolat amer, noire et plutôt froide au premier abord. Elle est savoureuse et chaleureuse quand on la croque." 
Marie-Odile Portafaix dans L'or brun au pays du diamant noir.

 
A noter que la marquise de Sévigné écrivait du chocolat qu'il "vous flatte pour un temps et puis vous allume tout d'un coup une fièvre continue qui vous conduit à  la mort. "

La ville, gourmande, comptait dans les années 20 jusqu’à 25 chocolatiers qui produisaient plus de 10 % du chocolat français.

L'industrie stéphanoise du chocolat aux cours du Xxème siècle
 

Entre 1880 et 1970, Saint-Etienne a compté près d'une soixantaine de chocolatiers. 26 sont recensés pour l'année 1914 et une douzaine pour l'année 1927. La production quotidienne varie entre 35 000 et 40 000 kilos.  La ville est un des principaux centres industriels de France. Elle forme une main d'oeuvre qualifiée, ce qui incite les chefs d'entreprises à  créer des chocolateries ou à  les racheter. Par ailleurs, la chocolaterie emploie une main d'oeuvre féminine importante pour ce qui concerne la partie enrobage et mise en boite, ce qui convient aux épouses des ouvriers métallurgistes. Les machines qui fonctionnent à  la vapeur ont besoin de charbon et les vertus thérapeutiques du chocolat sont recommandées pour les travailleurs de force, en particulier les mineurs.
Autant d'explications pour essayer de comprendre comment une ville ouvrière, noire et pauvre a pu développer une industrie au service d'un produit gourmand et esthétique. Sans oublier le chemin de fer qui a été un atout de plus (Weiss et Casino à  Châteaucreux) et la création en 1895 d'un entrepôt des douanes pour stocker les fèves en provenance d'Amérique du sud. 

Chaque chocolatier pouvait s'y approvisionner selon ses besoins et il permettait de diminuer les droits de douane puisque ceux-ci n'étaient payés qu'au moment de la sortie des marchandises. Les fèves, sujettes au dessèchement, pesaient donc moins à  leur sortie de l'entrepôt qu'à  leur arrivée.

 
En 1929, la production chocolatière stéphanoise représente 12% de la production nationale et ce secteur emploie plus de 400 personnes. Après s'être imposé sur le territoire français, le chocolat Pupier notamment - grâce à  Adrien et Marcel Pupier, les fils de Joseph -  gagna les colonies et jusqu'aux pays étrangers. Deuxième chocolatier français derrière Meunier, sa production dépasse les 30 000 kilos/jour. Malheureusement, l'activité de Pupier devait décliner après le second conflit mondial. Accusé de Collaboration, un des frères séjourna même en prison. En 1957, la chocolaterie Pupier est absorbée par les Etablissements Jacquemaire de Villefranche. L'entreprise Escoffier pour sa part ferme boutique dans les années 60. A la même époque, c'est encore le nom Favarger, célèbre pour le beau ruban de soie qui décorait ses boites de chocolat, qui s'efface, consommé par le Lyonnais Revillon. Fondée par un commerçant stéphanois, Eugène Veillith, associé à  Laurent Favarger (chocolatier suisse depuis 1826), la fabrique stéphanoise avait ouvert ses portes rue Benoît Malon au début des années 1900. 
Aujourd'hui subsistent la Maison Coulois, les Chocolat des Princes et les Chocolats Weiss. 

La fabrique Coulois, installée autrefois rue de la Roche du Geai, se trouve désormais à  Côte Chaude où elle produit plus de 35 tonnes de chocolat et dragées par an. Le magasin de la rue du Général Foy fut tenu par Madame Heyraud jusque dans les années 50. Depuis près de 60 ans, et le rachat du nom par Laurent Crouzeix, il est situé rue de la République. 

Les Chocolats du Prince est une entreprise créée rue de la République par la famille Touron en 1897. Rachetée en 1930 par Monsieur Calafell, puis en 1999 par Alain Duvert, neveu de Paul Bocuse et cousin du chocolatier lyonnais Bernachon, la chocolaterie et le siège social sont installés à  La Tour en Jarez. Sa production avoisine les 110 tonnes/an, dont 30 tonnes de sa spécialité, les grêlons du Pilat (élue en 1976 meilleur chocolat de France) et 27 tonnes de malakoffs.

La fabrique Coulois, installée autrefois rue de la Roche du Geai, se trouve désormais à  Côte Chaude où elle produit plus de 35 tonnes de chocolat et dragées par an. Le magasin de la rue du Général Foy fut tenu par Madame Heyraud jusque dans les années 50. Depuis près de 60 ans, et le rachat du nom

par Laurent Crouzeix, il est situé rue de la République. 

Aujourd'hui subsistent la Maison Coulois, les Chocolat des Princes et les Chocolats Weiss

Au XXI ème siècle .
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Une autre marque, Excella, est issue de la production chocolatière de Casino. Et comme souvent avec Casino, on perd en romantisme. Disons simplement que le chocolat est commercialisé sous les marques Bérard et Casino au début du XXe siècle. En 1940, la chocolaterie produit près de 1350 tonnes/an. Détruite par le bombardement de 1944, sa production ne reprend qu'en 1947. En 1983, elle devient filiale de Casino sous le nom de Société Alimentaire du Forez pour passer ensuite sous la coupe du groupe Strauss Elite, basé en Israel, et qui exploite la marque Excella. La production annuelle de 10 000 tonnes est destinée pour l'essentiel aux grandes surfaces alimentaires (Carrefour, Leclerc, Auchan...).

Les Chocolats Weiss, après avoir envisagé de déménager vers Andrézieux-Bouthéon, quand l'entreprise décida de quitter ses locaux historiques de l'avenue Denfert Rochereau, sont finalement restés stéphanois en choisissant la zone du Pont de l'Ane. Leur histoire débute en 1882 avec l'arrivée dans notre bonne ville d'un ouvrier confiseur alsacien, Eugène Weiss, qui prend la succession d'Emile Gerbaud au 8, rue du Général Foy. Son entreprise fut vite couronnée de succès et cent vingt ans plus tard, la boutique Weiss perpétue la tradition gourmande.

En 1885, il agrandit sa boutique. En 1907, il entreprend la construction de l'usine de Châteaucreux. En 1912, suivant l'exemple de Mimard, il édite le premier catalogue de vente par correspondance.  "C'est qu'une boîte de chocolats, c'est une boîte à  surprise. Elle a la séduction de l'inconnu, tout l'attrait d'une loterie. Car le bonbon ou chocolat garde son secret, c'est un petit cachottier. Dans l'instant où l'on va le croquer on ne sait si c'est de l'angélique, de la pistache, de l'amande, du praliné ou de la crême qui va fondre ou croquer sous la dent; ou bien si c'est une rosée de liqueur qui va jaillir soudain et ensoleiller toute la bouche."

Weiss s'est installé dan l zzone commerciale Steel de Saint Etienne à coté d'Ikéa

Weiss produit aujourd'hui environ 450 tonnes de chocolat/an, à  partir de fèves nobles en provenance essentiellement d'Amérique du sud (Trinité, Vénézuela...) et dans une moindre mesure d'Afrique. L'entreprise torréfie elle-même les fèves et ne conçoit que des mélange des grands crus. Noblesse oblige

sources forezinfo.com

le progrès, wikipédia-
 

Mais il n'y a pas que Saint Etienne qui a fait de la Loire la capitale du chocolat : de nombreuses villes du département ont participé à cette image en chocolat !!!

Roanne, Saint Symphorien, Saint-Chamond, Pannissières,Firminy, Neuville ,le Coteau ,la Talaudière, Saint Rambert Bouthéon ….
 

Quelques spécialités


Les chocolats des Princes :
- Une délicieuse ganache chocolat au lait noisettes, élue Meilleur chocolat de France en 1976, le grêlon du Pilat est la grande spécialité de Chocolat des Princes.
-
Le malakoff praliné à l'ancienne roulé dans des noisettes concassées et enrobé de chocolat est devenu le chocolat incontournable et emblématique du Chocolat des Princes.
- Le bâton caramel au beurre salé enrobé de chocolat.

Weiss : les malakoffs, et bien d'autres merveilles à découvrir..

Roanne

-les papillottes Révillon

Pannissières :chocolat 42

Révillon est une chocolaterie française fondée à Lyon en 1898 et implantée depuis 1972 à Roanne dans la Loire. Elle est principalement connue pour sa production de papilloteset de chocolats de Pâques. Elle fournit en dehors du chocolat des pâtes de fruits qu'elle emballe dans ses papillotes. L'entreprise est la propriété du groupe Savencia.


Les papillottes Révillon sont connues internationalement

Fabriqués au Coteau, près de Roanne, ces petits chocolats vous font fondre, autant que les messages glissés à l'intérieur font parler.

En 2019, l'entreprise vend 400 millions de papillotes chaque année (soit 2500 tonnes.

Révillon vend essentiellement en France et à la grande distribution; Sa stratégie outre le chocolat fin est la papillote « locale » : les pâtes de fruits fabriquées par des producteurs dans la région (avec des fruits français) sont emballées à Roanne. Le pic de fabrication et de vente a lieu pour les fêtes de fin d'année 70 % de la production est vendue dans le sud-est de la France4. En 2010, le chiffre d'affaires est de 40 millions d'euros

. Révillon Chocolatier emploie entre 240 et 450 personnes selon la saison

Pour conclure Toutes les villes de la Loire ont leurs pâtisseries chocolateries confiseurs  et les artisans vous  proposent leurs créations et leur savoir faire  

Alors régalez vous et offrez des chocolats pour que cette nouvelle année é034 pour bien la  commencer .

Bonne année chocolatée !

Merci aux sites : Forezinfo.com – Le Progrès-Histoire du chocolat-..


Bayonne, serait la capitale du chocolat . Vraiment ?

Son histoire est intimement liée à celle de la communauté juive, détentrice des clés du commerce de la fève de cacao et des secrets de fabrication venant d'Espagne.

La Suisse premier pays consommateur mondial d echocolat ! Mais les stéphanois n'ont rien à leur envier !!!

Tag(s) : #Histoire du chocolat, #histoire des mentalités
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