Histoire du tour de France cycliste

Le Tour de France, souvent appelé « Le Tour » ou « la Grande Boucle », est une compétition cycliste par étapes masculine qui a lieu principalement en France chaque année, tout en traversant occasionnellement les pays voisins
1) A l' origines de sa création : les objectifs poursuivis :
de 1903 à 1939 :
Cette épreuve sportive avait deux objectifs : -
-favoriser le développement du vélo et démocratiser son utilisation
-favoriser la presse sportive :" le vélo " ancêtre du journal " l'Equipe"
Le vélo est à la mode au début du XXème siècle et sa popularité ira en s'accroissant aux fil des décennies : dans les années 30 du Front populaire, la bicyclette est la petite reine.Beaucoup partiront pour la première fois ,en vacances ,à bicyclette; Son coût raisonnable permet à l'ouvrier d'en acquérir une pour se rendre plus rapidement à l'usine, au magasin, au champ . Cette place privilégiée la bicyclette la gardera meme pendant la guerre où elle jouer un rôle certain dans la diffusion des messages, des colis, des armes...
2) Les jeux olympiques de Paris en 1900

Les épreuves cyclistes, appelées « courses vélocipédiques
, ont lieu dans le vélodrome de Vincennes entre le
Les courses professionnelles de ce sport très populaire à l'époque
comprennent le 1 000 mètres,le 2 000 mètres, le 100 kilomètres,
le 100 milles (160 kilomètres) eet le Bol d'or couru sur 24 heures
Maurice Garin, futur vainqueur du premier Tour de France en 1903,
termine troisième du Bol d'or
Trois courses sont réservées aux amateurs et donc considérées comme
olympiques : la vitesse individuelle, la course aux points et les 25 kilomètres
Selon Bill Mallon, 72 cyclistes (dont 59 Français) venant de six pays y prennent part.
La vitesse se court en quatre tours de compétition sur une
3) de 1903 à 1929
Créé en 1903 dans un contexte de développement du sport cycliste sous l'impulsion des organes de presse spécialisée et des industriels du cycle, le Tour de France est organisé par le journal L'Auto, dirigé par Henri Desgrange, afin de relancer les ventes du quotidien et d'affaiblir son concurrent, Le Vélo. Dès sa première édition, l'épreuve connaît un certain succès populaire et se voit reconduite l'année suivante. Malgré des accusations de tricherie envers certains coureurs ou des modifications fréquentes du règlement vivement critiquées comme la mise en place d'un classement par points à défaut d'un classement général au temps entre 1905 et 1912, le Tour de France devient peu à peu l'un des évènements sportifs les plus populaires en France et à l'étranger. Les performances des coureurs du Tour, ces « géants de la route », magnifiées et glorifiées par la narration de la course dans les journaux, puis des années plus tard à la TSF, contribuent à asseoir la réputation de l'épreuve. Des faits de course comme la fourche cassée d'Eugène Christophe en 1913 au tracé d'un parcours toujours plus difficile, avec la première traversée des cols pyrénéens en 1910 puis la première ascension du col du Galibier l'année suivante, la « légende du Tour » s'écrit au fil des ans.
Avec l'introduction du maillot jaune en 1919 pour distinguer le leader du classement général, le Tour de France se dote d'un symbole majeur.
Les premières éditions d'après-guerre ne rencontrent pas le même succès que celles d'avant-guerre, bien que les quatre victoires belges de 1919 à 1922, dont celle de Philippe Thys qui devient en 1920 le premier coureur à remporter trois Tour de France

L'image du Tour pâtit de la présence de « champions peu
charismatiques » et des entorses répétées au règlement de la
course. Bien qu'Henri Desgrange soit resté intransigeant sur
le caractère individuel de la compétition.
Les victoires doivent beaucoup aux ententes entre coureurs
du consortium La Sportive, puis de l'équipe Peugeot en 1922.
Le Tour connaît un éphémère regain d'enthousiasme en 1923
avec la victoire d'Henri Pélissier,

l'un des coureurs français
les plus populaires de l'époque.
La formule des équipes nationales est retenue à partir de 1930 pour contrer la puissance de certaines équipes de marque, accusées par Henri Desgrange de verrouiller la course, ce qui prive les organisateurs des ressources financières issues des droits d'entrée jusqu'alors payés par les marques. La caravane publicitaire naît cette même année pour compenser ce manque à gagner. Les cinq victoires consécutives de l'équipe de France entre 1930 et 1934 suscitent un véritable regain d'intérêt de la part du public.
4) 1936
30 ème tour de France sous le Front populaire
Le public avait déjà l'habitude de se presser au bord des routes pour applaudir le peloton. En cette année 1936, le gouvernement de Front populaire vient d'instituer les congés payés. Le Tour va ainsi connaître un succès sans précédent, des dizaines de milliers de travailleurs en vacances affluant au passage des « Géants de la route ».

Une absence marquera le Tour, dès le deuxième jour de course : à Charleville, Henri Desgrange, malade, doit quitter les coureurs et passer les rênes de l'épreuve à son plus proche collaborateur, Jacques Goddet, rédacteur en chef de L'Auto.
Le Français Maurice Archambaud porte le maillot jaune avant les Alpes, malgré une chute lors de la sixième étape (Évian - Aix-les-Bains, 212 km). Entre Grenoble et Briançon (huitième étape, 194 km, que va remporter le touriste-routier français Jean-Marie Goasmat), Archambaud faiblit dans le Galibier et concède 7 min 56 s au groupe des favoris, dont le Français Antonin Magne et le Belge Sylvère Maes.
Lors de la seizième étape (Luchon-Pau, 194 km), on s'attend à une attaque d'Antonin Magne. Au contraire, les Belges Sylvère Maes et Félicien Vervaecke passent à l'offensive dans le Tourmalet et forcent l'allure dans l'Aubisque ; Vervaecke est retardé par une crevaison, Sylvère Maes effectue seul les 40 derniers kilomètres ; il s'impose et distance Antonin Magne (neuvième) de 18 min 4 s. L'avance de Maes sur Magne se monte désormais à 26 min 13 s. Le Tour est joué.
5) Pendant la seconde guerre mondiale
Le Tour de France 1939 s'achève un mois avant le début de la Seconde Guerre mondiale. Les tensions sont déjà palpables entre les futurs belligérants : l'Allemagne et l'Italie de Gino Bartali sont ainsi absentes. De la même manière, les conscrits Jean-Marie Goasmat, Pierre Cogan et André Bramard n'obtiennent pas de permissions pour disputer l'épreuve.
Malgré le début du conflit mondial, Henri Desgrange envisage toujours l'organisation du Tour en 1940. Il doit cependant renoncer en raison des zones militaires et donne alors rendez-vous à l'été 1941, mais malade, il meurt le
. Pendant l'Occupation, les Allemands souhaitent que le Tour de France
soit de nouveau organisé, afin de « rallier tout le peuple français » et
de « légitimer leur pouvoir en autorisant à nouveau une grande manifestation
publique », ce que Jacques Goddet, qui a succédé à Henri Desgrange, refuse. Ce projet est confié au journal collaborationniste La France socialiste et à son chef des sports, Jean Leulliot, ancien journaliste de L'Auto et directeur de l'équipe de France pendant le Tour 1937. Jacques Goddet ayant interdit l'usage du nom « Tour de France », une course appelée « Circuit de France » est disputée du 28 septembre au 4 octobre 1942, en sept étapes, dont le Belge François Neuville sort vainqueur.
En 1943, les industriels, déjà réticents en 1942, n'apportent pas leur
soutien à La France socialiste et le Circuit de France n'est plus organisé.
En 1943, Jacques Goddet crée le Grand Prix du Tour de France dont le
classement est établi en comptabilisant les meilleurs résultats obtenus
lors des principales épreuves.
À la fin de la saison, le vainqueur se voit remettre
un maillot jaune. Comme les autres journaux ayant paru pendant
l'Occupation, L'Auto voit ses biens confisqués et n'est plus publié à partir
Jacques Goddet, avec le soutien d'Émilien Amaury, créateur du Parisien
Libéré, obtient néanmoins le droit de relancer un journal sportif mais
sous un autre titre : L'Équipe paraît à partir du 28 février 1946.
En juillet 1946, les journaux Sports, Miroir Sprint et Ce soir,
sympathisants du Parti communiste français, lancent la Ronde de
France, une course en cinq étapes de Bordeaux à Grenoble. Quelques
jours plus tard, L'Équipe et Le Parisien Libéré
donnent naissance à la course Monaco-Paris, également appelée la
« Course du Tour ».
Sur fond de politique, chacun espère pouvoir reprendre l'organisation du Tour de France,
dès que l'état du pays le permettra. En juin 1947, alors que les ministres communistes
ont quitté le gouvernement un mois plus tôt, l'État confie au Parisien Libéré et à
L'Équipe le soin d'organiser le Tour de France. La Grande Boucle reprend ainsi
en juillet 1947. Jacques Goddet est désigné directeur de course et Félix Lévitan,
De 1945 aux années soixante : les trente glorieuses
l'age d'or
Durant les années 1950, sous l'impulsion de Félix Lévitan, le parcours du Tour « s'affranchit du chemin de ronde », ce qu'Henri Desgrange n'avait pas osé faire. Il explore le centre de la France, le Massif central, et y conquiert un nouveau public qui ne voyait pas passer la course auparavant. La découverte de nouvelles ascensions, notamment le Mont Ventoux en 1951 relance l'attrait sportif de la course. Les premières arrivées en altitude se font l'année suivante, à l'Alpe d'Huez, à Sestrières et au Puy de Dôme.
Dans une Europe divisée en deux blocs, le Tour de
France se développe à l'ouest en visitant régulièrement ses voisins
italiens, suisses et belges. L'ouverture du Tour de France vers l'étranger
est un choix des organisateurs en partie contraint par la concurrence
d'autres courses, comme celle de la Course de la Paix, épreuve
phare en Europe de l'Est et créée en 1948. Réservée aux amateurs
, elle accueille un peloton plus large que celui du
Tour de France.
A partir des années 50 le tour de France va connaitre une popularité inégalée due à plusieurs facteurs :
- le tour explore des régions jusqu'alors laissées de coté : massif central , cotes..campagnes
-les départs ont lieu à l'étranger, parfois entraînant un public étranger
-la télévision de plus en plus présente dans les foyers va être à l'origine d'un renouveau pour l'engouement de cette épreuve sportive en transmettre les étapes au jour le jour et notamment l'arrivée finale à Paris sur les champs Elysées
- la présence de sportifs charismatiques se mesurant dans un duel éternel : Anquetil et Poulidor

- la présence des personnages légendaires : Federico Baamontès : l'aigle des Pyrénées

B) la crise
L'industrie du cycle connait dans les années 60, une grave crise concurrencée par l'automobile, la mobylette, le scooter, vélosolex.

Durant les années 1960 et jusqu'aux années 1970, la situation économique du Tour se dégrade. Son organisation est déficitaire. Une relative désaffection du public est observée et la caravane se restreint considérablement. Les prix attribués aux coureurs demeurent inchangés, de sorte que leur valeur réelle diminue
C) la relance ( année 70-76) :
Le phénomène hippie venu d'Amérique et l'apparition du mouvement écoloqique vont donner à la bicyclette non polluante et populaire une nouvelle vie.

. En s'éloignant des grands axes de circulation pour aller à la rencontre
de la France paysanne, le Tour de France suscite l'intérêt du secteur
agricole en 1974. Enfin, le Tour, spectacle gratuit et fête populaire,
attire de nouveau la foule sur le bord des routes, probablement
grâce à son « aspect fédérateur […] face à la crise économique
et au changement de société ».

En 1975, les organisateurs opèrent
une relance sportive, commerciale et touristique du Tour grâce à
une nouvelle stratégie s'adressant aux spectateurs comme consommateurs
et qui l'amène à devenir « promoteur de la France des loisirs et du
tourisme »
. Le classement du meilleur jeune, récompensé par un
maillot blanc, et le maillot à pois de meilleur grimpeur sont introduits,
et le Tour s'achève pour la première fois aux Champs-Élysées,
où le président de la République Valéry Giscard d'Estaing remet s
on maillot jaune à Bernard Thévenet, qui met fin au
règne d'Eddy Merckx.
7) le "Tour open "(des années 1980 à 2015)
Les années 1980 et 1990 sont une période d'internationalisation et de croissance du Tour de France.

Au début des années 1980, l'organisation du Tour de France cherche à élargir son audience et à trouver de nouveaux adversaires aux coureurs d'Europe de l'Ouest (les vainqueurs du Tour de France ne sont alors tous issus que de sept pays de cette région), et particulièrement à Bernard Hinault qui domine la compétition. L'idée d'un Tour « open », c'est-à-dire ouvert aux amateurs, est lancée par Félix Lévitan en 1982. Elle se réalise l'année suivante, moins ambitieuse toutefois que ce qu'imaginait ce dernier. Alors que le but de ce projet est de faire participer les coureurs d'Europe de l'Est, ceux-ci en sont empêchés par leurs dirigeants politiques. Une seule équipe amateur participe finalement au Tour de France 1983 : l'équipe de Colombie, qui révèle le grimpeur Luis Herrera, deux fois vainqueur du classement de la montagne. Au lieu de s'ouvrir à l'Est, le Tour élargit son horizon à l'ouest, avec l'arrivée en 1986 d'une équipe américaine, et d'un premier vainqueur américain, Greg LeMond. Si aucun coureur amateur d'Europe de l'Est ne participe au Tour, l'ouverture progressive de certains pays permet à des athlètes de devenir professionnels en Europe de l'Ouest. En 1987, le Tour fait un pas vers l'Est en partant de Berlin-Ouest. Cette édition marque tout de même la volonté d'internationaliser le Tour. Il faut attendre la chute du mur de Berlin puis la fin du pacte de Varsovie pour voir participer en nombre des coureurs d'Europe de l'Est
Les grands noms du tour :
Le Tour de France, déjà doté d'un prestige plus important que les autres courses depuis plusieurs décennies, acquiert une position hégémonique. Certains coureurs axent leur saison sur le Tour de France, et délaissent d'autres compétitions majeures du calendrier. Cette stratégie est initiée par Greg LeMond. Il est ensuite imité par Miguel Indurain, quintuple vainqueur entre 1991 et 1995, Lance Armstrong, détenteur du record de victoires avec sept succès de 1999 à 2005 jusqu'à son déclassement en 2012,
ainsi que d'autres coureurs ayant eu l'objectif de gagner le Tour. Bernard Hinault est ainsi le dernier lauréat de la « grande boucle » à avoir remporté plus d'une victoire sur une classique dite « monument
» (jusqu'à la victoire en 2018 sur Milan-San Remo de Vincenzo Nibali, vainqueur
auparavant du Tour de France 2014 et du Tour de Lombardie 2015 et 2017).
Les championnats du monde et les Tours d'Italie et d'Espagnes ouffrent aussi de
la concurrence du Tour. La simple participation au Tour devient une motivation
essentielle pour les sponsors d'équipe

8) le Tour de France actuel
Afin de renouveler l'épreuve et la moderniser, les organisateurs apportent quelques innovations permises par les nouvelles infrastructures et les nouvelles technologies. Tout d'abord, le parcours visite plus souvent les massifs dits intermédiaires comme le Jura ou les Vosges afin de les traiter comme des étapes de montagne décisives. Cela passe également par la découverte de nouvelles routes et de nouvelles ascensions, dans tous les massifs. Le rôle du directeur de course, occupé par Jean-François Pescheux jusqu'en 2013 puis par Thierry Gouvenou depuis 2014 prend toute son importance. C'est sous la direction de Prudhomme que des ascensions comme le Port de Balès, la Hourquette d'Ancizan, les Lacets de Montvernier, le col du Grand Colombier ou la Planche des Belles Filles acquièrent une notoriété auprès des cyclistes du monde entier
Par ailleurs, la course devient plus palpitante et retarder le
suspense au plus près de Paris, tout en répartissant au mieux les
difficultés sur l'ensemble de la course. Il propose des Tours avec des
premièressemaines très corsées, avec des étapes de moyenne montagne
, ou des étapes de "classiques" en empruntant de nombreuses côtes
(dans le style de la Flèche wallonne ou de Liège-Bastogne-Liège)
ou des secteurs pavés (ceux du Paris-Roubaix notamment). Et sur
les fins de Tours, dès 2009, l'épreuve propose ponctuellement une étape
de montagne la veille de l'arrivée sur les Champs-Élysées, ce qui
n'avait jamais été fait auparavant. En contrepartie, le nombre d'étapes
contre-la-montre, et leur kilométrage, diminue sensiblement.

9) Le Tour de France est le seul événement sportif qui assume un rôle de promotion des territoires.
Les organisateurs font du Tour de France une vitrine touristique
pour les régions intéressées, ce qui amène à des départs de l'étranger
plus nombreux. Sous sa direction, le Tour partira plus de fois de l'étranger
que de l'hexagoneNote 4. Il arrive désormais que l'épreuve ne "traverse"
plus une zone, mais y passe deux voire trois jours. C'est notamment le
cas pour les Grands Départs et pour des étapes de montagne, qui
permettent de valoriser une partie d'un massif sur plusieurs étapes
. Du fait de la popularité du Tour et des retombées économiques
qu'il engendrel'organisation revendique plus de 260 candidatures annuelles
pour recevoir une étape115. Ces candidatures proviennent à la fois de
villes mais aussi de communautés de communes, de départements
voire de régions entières. Il n'est pas rare que certaines étapes prennent
place intégralement dans un seul département116,117.
C'est durant cette période que le Tour fête sa 100e édition en 2013,
avec un Grand Départ inédit de Corse, seule région de France
métropolitaine que la course n'a jamais visité

des Champs-Élysées connaît une modification importante en incluant
dans le circuit final le tour de l'Arc de Triomphe. Initialement prévue
pour fêter la centième édition, l'expérience a été renouvelée l'année
suivante pour être conservée définitivement.
10) le tour de France 2019
Il partira de Bruxelles (voir la carte) et traversera essentiellement
l'est du pays ; l'ouest les cotes de la marche, Bretagne et
atlantiques ne seront pas au programme.

Lithistart suivra ce tour de France en vous proposant
chaque étape une poésie évoquant la région parcourue.
Puis nous reprendrons le tour de France en poésies pour nous
rendre dans les régions que le Tour cette année n'a pas visité
(Normandie Bretagne, Vendée ,Landes. pays basque Bourgogne..)
Alors à bientôt sur le tour de France , retrouvez les champions de "la petite reine "sur vos radios télés et vos écrans tablettes smartphones et suivez le tour de France en poésies avec les poètes du bel été !
sources Wikipédia : la vie du `Tour de France
- Henri Desgrange, La Vie sportive (Tours de France 1911, 1912 et 1913), Paris, Librairie de L'Auto, 1913.
- Albert Londres, Les forçats de la route & Tour de France, tour de souffrance, coll. « Motifs », Paris, Le serpent à plumes, rééd. 1996 (recueil d’articles de 1924).
- Tristan Bernard, Compagnon du Tour de France, B. Arthaud, Grenoble, 1935, 112 p.
- Roland Barthes, Mythologies, Seuil, (ISBN 2020005859)
- Antoine Blondin, Sur le Tour de France, Paris, Mazarine, (ISBN 2-86374-011-3)
- Xavier Louy, Made in Tour de France, La mondialisation du cyclisme,
et bien d'autres .....................